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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 21:55

 Jean-Jacques Delangue, Mérignac, astronomie, lunette astronomique, passionné, stellarium, Kagayaki, étoiles, Puy Saint Jean, Charles Messier, constellations, télescope, Fleurac, Charente, Sud-Ouest, Charente Libre, article de presse, Solange Tellier

photos Solange Tellier
Au Puy Saint-Jean, même en charentaises on peut voyager dans les étoiles !

Au détour d'une réunion, d'un pot, d'une sortie, vous rencontrez des gens passionnants. Et  mon plaisir de correspondante, c'est de pouvoir à côté des petits courants et des marronniers, pas négligeables pour autant, entrer dans les passions des uns et des autres et m'en faire l'élément transmetteur. Je les admire ces personnes, qui osent ainsi parler de ce qu'elles aiment, et savoir si bien le faire.

C'est à l'occasion d'un "pot du maire pour les voeux" que j'avais rencontré Jean-Jacques et Christiane Delangue. Devant mon intérêt, ils ont accepté ma proposition d'aller leur rendre visite. J'ai enfin pu prendre le temps d'y aller. Monter à vélo depuis la vallée où coule la Guirlande, qui sépare mon Fleurac saintongeais du Puy Saint-Jean perché sur les premières hauteurs de l'Angoumois. Un début de voyage pour mériter un  coin de ciel. Jean-Jacques avait eu quant à lui, la gentillesse de monter spécialement son matériel pour l'occasion, ce qui lui demande deux bonnes heures d'installation.

Mon article est paru. Un peu raccourci. Mais c'est normal, je ne pouvais pas prétendre à une page. Ce petit blog a au moins le mérite de me permettre de partager ma prose sans restriction.

Saturne plein sud dans la patte du Lion, la Grande Ourse et les Gémeaux évoluant vers l’Ouest au fur et à mesure de l’avancée de la nuit, le Bouvier toujours présent, c’est ce que Jean-Jacques Delangue et son épouse Christiane prennent plaisir à observer en ces soirées printanières de plus en plus agréables, depuis leur petit pavillon neuf sur les hauteurs du Puy Saint Jean, aux confins des communes de  Mérignac, Fleurac et Echallat en pointant télescope et lunette vers le ciel de mai. La  piste aux étoiles n’a plus de secrets pour ces passionnés d’astronomie, amateurs certes, mais incollables sur le sujet.  Quand Christiane offre, il y a une dizaine d’années de cela, un télescope à son mari elle ne pensait pas que ce dernier complèterait illico l’équipement pour voyager encore plus loin dans le cosmos. Arrivé de la région parisienne et installé en Charente depuis 2006 l’astronome amateur a trouvé sur Mérignac l’emplacement idéal pour sa maison, parfaitement orientée pour éviter la pollution lumineuse d’Angoulême « toutefois relativement faible » comme il le fait remarquer. Tournant le dos au hameau du Puy Saint-Jean il a le ciel pour lui tout seul. En attendant de  pouvoir partager sa passion avec la création d'un espace qui permettra de recevoir des visiteurs du ciel Jean-Jacques profite de cette situation exceptionnelle pour scruter le ciel profond .

Des milliards d'années-lumière au bout de la lunette

Installé sur la terrasse, le télescope de taille imposante « fonctionne sur le principe de la réflexion avec son grand miroir sphérique qui réfléchit les rayons lumineux et les renvoie tous en un même point » explique l’amateur éclairé.  Mais pour saisir « des objets » comme la grande galaxie d’Andromede située a 2,5 millions d’années lumière, ou  des amas d’étoiles qui gravitent autour de notre galaxie c’est la lunette 102 mm qui entre en action. En utilisant le principe de la réfraction  sa grande lentille concentre la lumière et permet une bonne approche planétaire.  C’est aussi avec elle que Jean-Jacques se régale en couplant du matériel de photographie et le logiciel Goto qui lui permet de cibler l’objet de sa convoitise et de le suivre suffisamment longtemps pour qu’une caméra puisse réaliser des clichés. La photographie des ciels nocturnes est son dada, d'ailleurs une heure passée avec ces deux passionnés et la tête de Cheval n’a plus de secret pour vous.  Sur les clichés réalisés en argentique, « car l’équipement en numérique est encore un gros investissement » l’astronome  montre les deux galaxies M81 et M82  parfaitement distinctes qu’il a pu saisir parmi une multitudes de petits points lumineux à vous donner le mal de tête. Des prises de clichés indispensables pour avancer encore plus loin dans les années lumières qui passent ainsi de plusieurs milliers en vision directe à plusieurs milliards sur photos.  Les explications sont techniques mais Jean-Jacques sait se faire pédagogue et Christiane cherche en simultané l’info complémentaire sur son PC ou des encyclopédies histoire de vous prouver que la Grande Casserole n’est pas à proprement parler la même chose que la Grande Ourse contrairement à ce qu’imaginent la plupart des néophytes. Si la Grande Ourse est bien une constellation, la Grande Casserole n’est qu’un astérisme, et Jean-Jacques de vous en persuader avec l’aide de l’intelligent logiciel Kagayaki qui vous montre en temps réel sous quels cieux vous vous trouvez. Et de poursuivre les explications à propos des magnitudes des astres allant de 1 à 10, à propos des 109 objets au catalogue de Charles Messier ou des sept mille et des poussières du NGC américain (new general catalogue). Quant aux étoiles filantes Christiane vous dira qu’elle les entend parfois tomber, et Jean-Jacques vous expliquera encore pourquoi Pluton n’a aucune raison de figurer parmi les planètes. 

Jean-Jacques un passionné donc, qui se sent parfois bien seul sous les étoiles. Alors si d’autres passionnés ont envie de prendre contact avec lui c’est avec plaisir qu’il partagera sa passion . 

Contacts 05 45 82 05 14
Et pour les amateurs de ciels, un petit logiciel gratuit à installer sur votre PC, pour suivre les étoiles, étendu(e)(s) sur l'herbe de votre jardin, le nez en l'air, le chant des grillons emplissant l'air ...Un régal ce stellarium ... comme si vous y étiez !
http://www.stellarium.org/fr/

blog sudouest 16-05-09

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11 mai 2009 1 11 /05 /mai /2009 21:50

Fleurac, orage, grêle, mai 2009, Charente, Sud-Ouest, Rouillac, Sainte-Catherine, vignes, jarnacais, rouillacais, photos Solange Tellier, catastrophe naturelle, changement climatique

Un orage de grêle  a dévasté sur le coup des 17:45  plusieurs centaines d'hectares de vigne sur le Jarnacais et le Rouillacais.
Des grêlons presqu'aussi gros pour certains que des balles de golf ont haché menu toute la végétation. Certaines routes étaient recouvertes d'un tapis mêlant la grêle et les feuilles des arbres. Les viticulteurs ne pouvaient que constater le triste spectacle avec au coeur la sensation amère que les vendanges venaient d'être faites.


        Imag'hôtel a supprimé toutes mes photos de son serveur - Il en reste quelques-unes sur l'article suivant : 

Blessures de grêle - d'autres photos - ici-
et encore ici

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30 avril 2009 4 30 /04 /avril /2009 21:51

grêle, Charente, mai 2009, orage, changement climatique, catastrophe naturelle, Lignières, Rouillac,

d'autres photos mises aimablement à ma disposition par une personne travaillant à l'entreprise Martell sur le site de Lignières près de Rouillac

      ste catherine avril 2009 029 (1)avril-2009-057.jpg

avril-2009-026.jpgavril-2009-020.jpg


11 mai 2009 - la Charente sous la grêle - d'autres photos ici
   

 blog sudouest 11-05-08

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24 mars 2008 1 24 /03 /mars /2008 19:55

Paul Gestraud, édition "mon étiquette", Thierry Grandjean, Jarnac, abbé Pierre, pardonné mais pas oublié, mémoires, autobiographie,

Il y a quelques jours une dame m'appelle. Son beau-père fête ses quatre-vingt dix ans et rassemble à cette occasion toute sa famille pour remettre à chacun un exemplaire de ses mémoires. La belle-fille souhaite donc un article dans la Charente Libre. Ce n'est pas mon secteur mais le collègue, indisponible momentanément, lui a transmis mes coordonnées.  

Nous prenons rendez-vous…
J'arrive dans la petite maison jarnacaise en tout début d’après-midi. Une dame m’ouvre la porte donnant sur la rue et me fait entrer dans une pièce claire qui ouvre, de l’autre côté, sur le jardin qui dégringole loin sur l'arrière de la maison. Le grand-père, assis dans son canapé se lève à mon arrivée.
Curieuse impression de connaître le personnage, mais je ne suis pas physionomiste. Je n’ai hélas pas la mémoire des visages.

 
Le sourire est jovial, avenant. La poignée de main est franche et solide. La barbe blanche ne tarde pas à s’agiter avec vigueur au rythme de la bouche  édentée qui commence déjà à raconter, raconter …

Il s’appelle Paul.
A l’occasion de ses quatre-vingt-dix ans, il a consigné ses mémoires dans un ouvrage « Pardonné mais pas oublié »
Dans sa jeunesse, il a été éclaireur réunioniste à Jarnac et a participé en 36 à un camp scout avec Baden-Powell. Issu d’une famille fort pratiquante et lui-même très engagé à cette époque, il devint par la suite conseiller presbytéral pour la communauté protestante de Segonzac.

 papi-Paul.JPG


Toute ressemblance avec une personne ayant existé ne serait que pure coïncidence

 

Paul Gestreau se confie, simplement. Il raconte sa vie. Une vie difficile et douloureuse au cours de laquelle il a vu partir à jamais ses trois enfants et il y a peu, son épouse. Pourtant le vieil homme rayonne et son charisme est tel que les jeunes n’en finissent pas de se plaire en sa compagnie. Bruno et Pascal, deux de ses petits-fils, Stéphanie l’auxiliaire de vie qui le considère comme son grand-père et surtout Nadine, l’épouse de Dominique, le fils décédé lui aussi. Tous aiment à dire de lui qu’il est « comme le bon pain, pas difficile à vivre » 

C’est Nadine « qui a été sa main »pour la rédaction de ses mémoires, comme il aime à le souligner. Un petit recueil tiré à une cinquantaine d’exemplaires seulement, sur les presses de l’imprimerie « Mon étiquette » de Pons et destiné à sa famille et ses amis, réunis ce samedi de mars pour son anniversaire. C’est cet hiver qu’il a décidé de laisser à ceux qu’il aime la trace de sa vie tellement chargée, après trois hospitalisations qui ont failli le faire passer de l’autre côté 

A l’hôpital, Nadine a commencé à enregistrer les récits sur un dictaphone. Paul s’en est sorti. "Miraculeusement", soutient-il, et ragaillardi. Il fait à nouveau quotidiennement un peu de gymnastique et me démontre geste à l’appui, qu’il est resté souple et agile en touchant de sa jambe son bras levé à l’horizontale à la manière des danseuses de music-hall. Il ferait même le grand écart si Stéphanie ne s’y opposait gentiment. La seule chose qu’il a abandonnée en octobre dernier c’est sa voiture remplacée par un scooter qui lui permet encore de se déplacer dans les rues de Jarnac et dans les chemins de campagne qu’il affectionne particulièrement. Un personnage véritablement, doué d’une « ouverture d’esprit et d’une curiosité naturelle » comme l’a souligné dans la préface de son livre, Thierry Grandjean, son éditeur. En effet, pour retrouver des photos, des détails utiles pour compléter ses écrits, Paul s’est initié à internet avec l’aide de Nadine. Tous les deux, complices, proches, père et fille, amis à la fois. Le lien qui les unit est fort. Cela se sent. Cela se voit. Nadine, présente et qui s’active aujourd’hui aux préparatifs de la fête confirme. 

Une vie difficile et douloureuse

Engagé à vingt ans juste avant la guerre, Paul restera absent sept ans loin de la maison familiale. Il participera aux combats violents en Meuse et en Ardenne, dans les forts de la ligne Maginot. Les camps, les planques. Le froid. La faim. Mais « se préservant du ventre, comme il le dit, pour préserver sa tête ». C’est que Paul qui admet, « user de tout, sans abuser » a ses arguments pour rester vaillant et solide. Il y eut ensuite la captivité en Allemagne d’où il ne reviendra qu’à vingt-sept ans. Aujourd’hui, ce pan lointain de sa vie reste clair et précis même si Paul prétend qu’il « perd des coches, et que la route est longue et difficile ».

Les lieux, les personnes, chacun porte encore dans sa mémoire, le nom qui lui revient. A l’image de celui à qui il ressemble tant, son discours est ponctué de paroles bienveillantes, les sages diraient « positives ». Pas de haine même s’il a « beaucoup encaissé » et s’il a désiré après bien des désillusions « tirer un trait sur toutes les religions et la politique qui ont détruit beaucoup de monde » Celui qui tout jeune a soigné sa mère, puis récemment son épouse qu’il a vu partir tout comme, avant elle, ses trois enfants, impuissant devant le sort qui s’est acharné, insiste sur le fait que « toute sa vie il a fait de ses actes des bonnes actions, ne reculant devant rien ». L’humaniste a souhaité inscrire dans les premières pages de son livre toute la confiance qu’il a dans l’homme intimement lié à la nature. L’arbre et le bois restent une référence qui tient à cœur de celui qui après avoir travaillé à l’exploitation familiale a travaillé ensuite à Jarnac, après maints petits boulots, à l’entreprise de bois Roger : « Comme l’arbre a besoin de puiser ses forces dans la profondeur de la terre pour se développer et faire face aux tempêtes, l’homme a besoin de ses racines pour se tenir debout ». Le livre de Paul se veut être les racines qui aideront ses cinq petits-enfants, ses cinq arrière-petits enfants et tous ceux à venir, à grandir et se tenir debout en se souvenant de Pépé Paul.

Le jour de la fête, aux petits-enfants heureux de recevoir le livre, le grand-père a prévenu : « Il ne suffit pas de lire, il vous faudra aussi comprendre »

 

Je suis restée plus de deux heures avec Paul. J’ai découvert, au hasard des pages de son livre que j’ai feuilleté, des détails d’épisodes de sa vie que je ne livrerai pas ici. Des hasards, des coïncidences troublantes que je garderai secrets. Je suis revenue chez moi en ce beau samedi qui sentait déjà le printemps, troublée, émue. J’ai déjà dit quelque part, et je l’avoue sans honte, que bien des personnes âgées m’ennuient, et que j’ai aujourd’hui envie de me tenir éloignée de la vieillesse pour l’avoir côtoyée très jeune, trop jeune. Mais pour faire à la Brassens, je pense que le fait d’être ennuyeux, triste et vieux n’a pas forcément de rapport avec l’âge. Car au final, les personnes âgées qui me sollicitent pour le journal, celles qui prennent plaisir à discuter avec moi, sont des gens remplis de sagesse, d’intelligence au sens noble et large du mot, des gens qui ont tellement de choses à dire et que j’aime entendre, sans appréhension.

Je repars donc sur le coup des 16 heures après avoir pris un petit café en compagnie de celui que j’avais cru reconnaître en entrant.

Je fais la bise à Paul. La barbe est douce, je sens que le papi est ému aussi. Je suis touchée par la confiance qu’il a mis à se livrer, et qu’il met en moi pour transmettre tout cela au journal.

Il m’accompagne sur le pas de la porte. Je lui promets de me rendre disponible, pile poil, dans dix ans, pour la suite de ses mémoires. 

Je crois que Papi Paul viendra faire un petit tour ici. Je le salue ainsi que Nadine. Je sais que d'autres tomes sont prévus à ses mémoires. Une belle façon de faire revivre le passé dans l'avenir et de lui-même se projeter dans l'avenir grâce à son passé. Une façon pour le sage qu'il est d'avancer avec son vécu et permettre à ses petits descendants de profiter de son expérience.Je remercie aussi, en passant, Samuel, un autre humaniste à la barbe fleurie, qui m’a donné l’opportunité de faire cette belle rencontre.  


blogsudouest - 24-03-08

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29 décembre 2007 6 29 /12 /décembre /2007 18:58

expo photos Laurence Colmart Lô fil  Euville Meuse Républicain Lorrain Sud-Ouest article Solange Tellier

lune-et-fantomes-192.jpg

 

Quelques jours avant Noël, la mairie d’Euville (55)installée dans un superbe édifice de style art nouveau de l’école de Nancy accueillait l'expo photos de Laurence Colmart "Au fil de Lô".
L’artiste inaugurait à cette occasion la salle d’honneur de l’édifice tout juste reconstruit après l’incendie qui avait détruit en grande partie les salles ouvertes au public et fait disparaître ses ornements aux motifs végétaux réalisés dans le pur style de l’école de Nancy.
La salle s’est avérée parfaitement adaptée à l'événement.Alain Férioli, maire de la commune soulignait lors du vernissage « que ce n’était qu’une première à renouveler "

Il faut dire que l’artiste, outre la qualité de ses clichés avait parfaitement réussi sa mise en scène. Au pays de la pierre

d’Euville, calcaire au grain très fin et immaculé Lô avait mis ses talents de plasticienne pour travailler le papier gauffré, donnant à ses supports l’aspect de sculptures fantômatiques. Pas effrayantes pour autant.

Chaque visiteur y est allé de ses propres perceptions : fantômes, bonhommes de neige, apôtres … Il faut souligner que l'église gothique Saint-Pierre et Saint-Paul en arrière-plan de l'autre côté de la place, ajoutait à la particularité des lieux. La blancheur des murs, le parquet blond marqueté, les baies vitrées dans lesquelles jouait la pleine lune de décembre, les lumières- fleurs du plafond, tout n'était pour l'expo que valeur artistique ajoutée.

L’artiste, avec sa spontanéité naturelle, a su mettre dans ses clichés toute la simplicité de sa relation à la photo. Beaucoup de clins d’œil remplis d’humour mais aussi de tendresse, de sensibilité. Comme elle le concède volontiers « la relation à mon appareil est avant tout une relation de sentiment, de sensations, plus que de technique. Aujourd’hui mon appareil ne me quitte pratiquement plus. Il est comme un ami omniprésent, toujours prêt à saisir ce que mon œil devine avant de voir vraiment"

 

La technique n'est cependant pas absente des clichés : perspectives, ombres et lumières sont subtilement saisies, travaillées et mises en valeur. Les portraits et les paysages prennent une dimension particulière avec des plongées et des contre-plongées, des jours et des contre-jours habilement maîtrisés.

"Plus qu’une exposition, j’ai voulu que cette manifestation soit un voyage dans le monde des émotions pour les visiteurs."

Un voyage pour lequel l’artiste a su associer toutes les personnes qui lui sont chères, à commencer par sa fille Sacha « Elle est devenue véritablement mon modèle, mon égérie ».

Un voyage qui ne demande manifestement qu’à se poursuivre.

Solange Tellier.blog sud-ouest- décembre 2007


et pour ouvrir l'expo ... Brume matinale


Lo-et-Ju-photo-de-Lo.jpg

Lo-et-ses-statues-photo-de-Lo.jpg

photos Droits Réservés

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